Germain Nouveau
                      Germain Nouveau
Etienne Crosnier
146 pages
                  
                  
Etienne Crosnier
146 pages
 
        
        
        
        
        18,40 €
				  		  
    
    
          
    
          
    
          
    
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                    			Description
Germain Nouveau (1851-1920) est surtout connu pour avoir été l’ami de Verlaine et de Rimbaud. Il est cité dans de nombreux travaux sur les Illuminations, bien que lui-même n’en ait jamais fait mention dans ses écrits. Encensé après sa mort par les surréalistes, les communistes, puis les acteurs de mai 68, le «  phénix  » d’André Breton renaît intact de ses cendres après chaque conflit ou crise du XXe siècle. 
Mais son œuvre poétique, contrairement à celle des « amants maudits », n’a jamais trouvé sa place dans notre Panthéon littéraire. Ses principaux recueils, La Doctrine de l’amour et Valentines, déjà remaniés il y a cent ans, sont de surcroît éclipsés par le mythe populaire d’Humilis, pèlerin mendiant sublimé par l’affirmation d’Aragon : « Non un épigone de Rimbaud. Son égal. »
D’où un malentendu sur la valeur strictement littéraire de ses poèmes, qu’une relecture comparée avec différents textes, contemporains mais aussi antérieurs, permet de mieux situer. Le « chanteur éveillé » de Jacques Brenner apparaît alors comme un digne héritier duParnasse contemporain, aux rimes sonores et aux rythmes évoquant davantage la tradition de la chanson populaire que l’alchimie du verbe rimbaldienne.
    Mais son œuvre poétique, contrairement à celle des « amants maudits », n’a jamais trouvé sa place dans notre Panthéon littéraire. Ses principaux recueils, La Doctrine de l’amour et Valentines, déjà remaniés il y a cent ans, sont de surcroît éclipsés par le mythe populaire d’Humilis, pèlerin mendiant sublimé par l’affirmation d’Aragon : « Non un épigone de Rimbaud. Son égal. »
D’où un malentendu sur la valeur strictement littéraire de ses poèmes, qu’une relecture comparée avec différents textes, contemporains mais aussi antérieurs, permet de mieux situer. Le « chanteur éveillé » de Jacques Brenner apparaît alors comme un digne héritier duParnasse contemporain, aux rimes sonores et aux rythmes évoquant davantage la tradition de la chanson populaire que l’alchimie du verbe rimbaldienne.