Les méthodes de l’éthique Tome 2
                      Les méthodes de l’éthique Tome 2
Henry Sidgwick
306 pages
                  
                  
Henry Sidgwick
306 pages
 
        
        
        
        
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                    			Description
Le philosophe et économiste anglais Henry Sidgwick a écrit un chef-d’œuvre de la philosophie morale britannique, couvert de nombreux éloges, dont ceux de John Rawls qui reconnaît une dette intellectuelle envers Sidgwick. Ce chef-d’œuvre, Les méthodes de l’éthique, attend une version française depuis 1874, attente désormais comblée grâce à cette traduction. Ce deuxième tome couvre les livres III et IV.  
Sidgwick tente de réconcilier le devoir et l’intérêt, autrement dit le « dualisme de la raison pratique ». Cette tentative s’inscrit dans un effort prodigieux pour harmoniser trois « méthodes » qui s’articulent et se répondent mutuellement dans une pensée extrêmement rigoureuse. Ces méthodes, l’hédonisme égoïste, l’intuitionnisme, et l’hédonisme universaliste, mènent à une éthique tout à fait originale, sans précédent, utilitariste mais tout en se dépassant au-delà des frontières de l’utilitarisme, vers une téléologie paradoxale et étonnante, sensible aux conséquences de l’action morale, et réceptive aux préceptes de la raison basés sur une intuition fondamentale.
Henry Sidgwick termine une période qui va de Hobbes à Hegel, en passant par Kant et Mill, et en ouvre une nouvelle, très riche, de G. E. Moore aux débats contemporains sur la bioéthique, la métaéthique, et les dilemmes moraux.
    Sidgwick tente de réconcilier le devoir et l’intérêt, autrement dit le « dualisme de la raison pratique ». Cette tentative s’inscrit dans un effort prodigieux pour harmoniser trois « méthodes » qui s’articulent et se répondent mutuellement dans une pensée extrêmement rigoureuse. Ces méthodes, l’hédonisme égoïste, l’intuitionnisme, et l’hédonisme universaliste, mènent à une éthique tout à fait originale, sans précédent, utilitariste mais tout en se dépassant au-delà des frontières de l’utilitarisme, vers une téléologie paradoxale et étonnante, sensible aux conséquences de l’action morale, et réceptive aux préceptes de la raison basés sur une intuition fondamentale.
Henry Sidgwick termine une période qui va de Hobbes à Hegel, en passant par Kant et Mill, et en ouvre une nouvelle, très riche, de G. E. Moore aux débats contemporains sur la bioéthique, la métaéthique, et les dilemmes moraux.